Abstract
À l’université s’applique la vérité du verset de l’Ecclésiaste « Ce qui a existé, c’est cela qui existera ; ce qui s’est fait, c’est cela qui se fera » (Ecc 1 :9). À l’université, lieu de la parole vivante, il ne saurait y avoir « un temps pour tout » comme l’affirme l’auteur du Qohélet, « […] un temps pour se taire, et un temps pour parler » (Ecc 3 :7). À l’université, la parole ne cesse jamais.