Abstract
Spécialiste des cartes et de leurs signifiants toponymiques renvoyant à l’histoire des peuples de l’Orient méditerranéen, Jacques Keilo déconstruit un certain discours idéologique qui cherche à diluer l’entité du Grand Liban de 1920 dans une Syrie comme entité politique qui l’aurait précédé et dont il aurait été arraché. Son article développe des arguments ébauchés dans un court papier paru dans L’Orient-Le Jour du 24 novembre 2018.