Résumé
Le 4 août 2020, la double explosion du port de Beyrouth ravage la capitale. Les pertes sont colossales et ne se limitent pas qu’au matériel. Face à une catastrophe d’une telle envergure, les initiatives ne tardent pas à venir en aide aux victimes et un projet de restauration/re-construction du patrimoine de la capitale libanaise se met en place. Dans notre communication, nous nous intéressons aux initiatives artistiques non libanaises tant sur le plan national qu’international pour soutenir les Libanais sinistrés, pour focaliser sur le rôle de l’Art dans l’éducation comme médium thérapeutique. En suivant la dynamique de la résilience allant du fait de « bondir », à un acte de « résistance », puis de « l’intégration du choc » à la « création / action », notre objectif est de proposer un enseignement universitaire par le biais d’œuvres d’arts post-traumatiques pour engager l’étudiant dans le projet de restauration/re-construction de la capitale.