Abstract
La guerre syrienne est devenue, depuis quelques années, un laboratoire d’écriture qui attire les écrivains, dont Jean-Pierre Perrin qui propose un nouveau modèle narratif pour raconter son expérience en Syrie. Cet article étudie la stratégie narrative de l’auteur qui tisse des liens littéraires et non-littéraires dans La Mort est ma servante pour mettre en relief les mutations esthétiques qui frappent la Syrie depuis le début de la guerre.